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Facebook: les couples qui ont un compte commun m'énervent via lepost.fr Tiens j’ai lancé un débat très dramatique et sérieux hier sur Facebook : et la chose a continué ensuite sur Twitter. Puis sur mon blog.Tout à commencé hier quand un couple de connaissances (appelons les Samira et Dorian) m’a envoyé une demande pour devenir mes "amis" sur Facebook. Quoi de plus ordinaire et banal en 2010 chez un trentenaire urbain et un peu trop porté sur le web ? Rien.Ah si : les deux personnes, en couple depuis deux ans et âgées de 34 ans et 33 ans avaient un profil commun intitulé niaisement "Chez Sam et Dor". Ca doit se vouloir mignon, sucré, doudou et chouchou. Grrr.Du coup j’ai décliné l’invitation avant de pousser un coup de gueule sur Facebook. Qu’on partage un lit commun, un appart commun, parfois un compte commun ok. Je ne suis pas le dernier à apprécier mes moments à deux.Mais un compte Facebook, lieu de l’espace individuel par excellence zut ! Que je ne sache pas qui va relever le courrier, moi qui connait tout de même bien mieux Sam que Dor, non, que j’ignore duquel des deux cerveaux proviennent blagues, expressions intéressantes, vidéos de canards danseurs ou de chats amusants non. Je suis pote avec des êtres humains, les hydres à deux têtes c’est pas vraiment mon truc. Mériteraient presque qu’on leur fasse envoyer des messages par d’autres copains pour provoquer un conflit sur leurs messagerie sur le thème "C’était trop bien hier Dor. Tu étais un vrai lion" ou "Je sais que tu m’aimes Sam mais rien n’est possible entre nous tant que tu n’auras pas largué Dor". Rien que pour leur apprendre.Un compte Facebook à deux la version web de ces couples énervants toujours scotchés l’un à l’autre, partageant badminton, club d’escalade, destruction mutuelle de leur forfait de portable et qu’il est interdit de ne pas voir l’un sans l’autre. Du trentenaire pénible. Des fois le bébé est ajouté en option. On en serait presque à souhaiter le jet dans le Rhône de tous les trentenaires en couple qui vont sur Facebook. Mais je nage trop mal. Une faute d'orthographe, une erreur à signaler ? Une précision à apporter ? Ecrivez à web@lepost.fr avec votre info ou votre correction et en indiquant l'url du post. A lire sur LePost.fr: - "Soirée du terroir" à Orléans: derrière l'invit' Facebook, un imbroglio politique - "Soirée terroir" à Orléans: l'organisateur viré du Nouveau Centre? - Infanticides dans le Nord: peut-on utiliser la photo du profil Facebook de la mère? Alerter les modérateurs Par romainblachier (67 )
Tiens j’ai lancé un débat très dramatique et sérieux hier sur Facebook : et la chose a continué ensuite sur Twitter. Puis sur mon blog.
Tout à commencé hier quand un couple de connaissances (appelons les Samira et Dorian) m’a envoyé une demande pour devenir mes "amis" sur Facebook. Quoi de plus ordinaire et banal en 2010 chez un trentenaire urbain et un peu trop porté sur le web ? Rien.
Ah si : les deux personnes, en couple depuis deux ans et âgées de 34 ans et 33 ans avaient un profil commun intitulé niaisement "Chez Sam et Dor". Ca doit se vouloir mignon, sucré, doudou et chouchou. Grrr.
Du coup j’ai décliné l’invitation avant de pousser un coup de gueule sur Facebook. Qu’on partage un lit commun, un appart commun, parfois un compte commun ok. Je ne suis pas le dernier à apprécier mes moments à deux.
Mais un compte Facebook, lieu de l’espace individuel par excellence zut ! Que je ne sache pas qui va relever le courrier, moi qui connait tout de même bien mieux Sam que Dor, non, que j’ignore duquel des deux cerveaux proviennent blagues, expressions intéressantes, vidéos de canards danseurs ou de chats amusants non. Je suis pote avec des êtres humains, les hydres à deux têtes c’est pas vraiment mon truc. Mériteraient presque qu’on leur fasse envoyer des messages par d’autres copains pour provoquer un conflit sur leurs messagerie sur le thème "C’était trop bien hier Dor. Tu étais un vrai lion" ou "Je sais que tu m’aimes Sam mais rien n’est possible entre nous tant que tu n’auras pas largué Dor". Rien que pour leur apprendre.
Un compte Facebook à deux la version web de ces couples énervants toujours scotchés l’un à l’autre, partageant badminton, club d’escalade, destruction mutuelle de leur forfait de portable et qu’il est interdit de ne pas voir l’un sans l’autre. Du trentenaire pénible. Des fois le bébé est ajouté en option. On en serait presque à souhaiter le jet dans le Rhône de tous les trentenaires en couple qui vont sur Facebook. Mais je nage trop mal.
Une faute d'orthographe, une erreur à signaler ? Une précision à apporter ? Ecrivez à web@lepost.fr avec votre info ou votre correction et en indiquant l'url du post.
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Posted via email from Dogmeat