1.20.2010

(#video) Haïti : Merci bon dieu, Haïti sans répit , Haiti: Thank God 18/01/2010 via ina.fr (Google Translation)

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Haiti: Thank God

First black republic in the world
80% Haitians live below the threshold poverty. The country, 1st black republic in the world in 1804, seems pay dearly for its independence gained after a revolution that made retreating troops of Napoleon Bonaparte in 1803.
In addition to the hurricanes that devastated this tirelessly after island, Haiti suffers from chronic political instability and successive coups State who have impoverished the country.

Between coups and popular protests
During the twentieth century, the country has known in where serenity and social policy. Following the occupation of the island by the United States (1915-1937), the Duvalier (father and son) reign dictators from 1957 to 1986, establishing a system of informers and of death squads, the Tontons Macoutes.
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The presidential term of their successor, the former priest Jean-Bertrand Aristide, has been largely punctuated by coups and demonstrations until his final exile in 2004. Since February 2006, René Préval, Aristide's close, leading the country.

An earthquake with devastating consequences
This is heavy and troubled history of his adverse economic and social policy, the country has being hit by an earthquake of magnitude 7, while suffering yet the consequences of hurricanes in 2008.


Thousands of victims are deplore, 3 million people were affected by the earthquake, or third population. Sure, the country will never recover from this disaster alone. The international community, NGOs have understood. They were strongly mobilized immediately to deal with first aid and rebuild as quickly as Haiti.

en francaise apres le jumpez


Haïti : Merci bon dieu

Première République noire au monde
80% des Haïtiens vivent en dessous du seuil de pauvreté. Le pays, 1ère République noire du monde en 1804, semble payer cher son indépendance acquise au terme d’une Révolution qui fit battre en retraite les troupes de Napoléon Bonaparte en 1803.
Outre les cyclones qui dévastent inlassablement ce bout d’île, Haïti souffre d’une instabilité politique chronique et d’une succession de coups d’Etat qui ont appauvri le pays.


Entre coups d’Etat et manifestations populaires
Au cours du XXe siècle, le pays a rarement connu de situation de sérénité sociale et politique. A la suite de l’occupation de l’île par les Etats-Unis (1915-1937), les Duvalier (père et fils) règnent en dictateurs de 1957 à 1986, mettant en place un système de délation et d’escadrons de la mort ; les Tontons Macoutes.
Le mandat présidentiel de leur successeur, l’ancien prêtre Jean-Bertrand Aristide, a largement été émaillé de coups d’Etat et de manifestations populaires jusqu’à son exil définitif en 2004. Depuis février 2006, René Préval, proche d’Aristide, dirige le pays.

Un séisme aux conséquences désastreuses
C’est lourd de cette histoire perturbée et de ses effets néfastes sur l’économie et la politique sociale, que le pays vient d’être touché par un tremblement de terre de magnitude 7, alors qu’il souffrait encore des conséquences des cyclones de 2008.
Des milliers de victimes sont à déplorer, 3 millions de personnes ont été touchées par ce séisme, soit un tiers de la population. C’est sûr, le pays ne pourra jamais se relever de cette catastrophe seul. La communauté internationale, les ONG l’ont bien compris. Ils se sont immédiatement fortement mobilisés pour parer aux premiers secours et reconstruire au plus vite Haïti.



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